Meg Dolman est candidate au doctorat au sein du groupe Human-Environment Systems de l'université d'État de Boise. Ses recherches portent sur l'étude des interactions entre l'homme et son environnement, et plus particulièrement sur l'écologie des perturbations, l'écologie des loisirs et le comportement humain. Meg est titulaire d'une maîtrise en biodiversité, conservation et gestion de l'université d'Oxford et d'une licence en géographie physique de l'université Royal Holloway de Londres.

En collaboration avec le Dr Jeff Marion, Meg étudie comment les gens répandent par inadvertance des espèces végétales non indigènes envahissantes le long des sentiers récréatifs. Ses recherches suggèrent les meilleures pratiques pour minimiser l'introduction et la propagation des plantes non indigènes envahissantes dans les zones récréatives et protégées. Elle s'intéresse particulièrement à la manière dont les randonneurs perçoivent et respectent les principes du "Leave No Trace" et cherche à identifier les facteurs qui pourraient encourager les gens à adopter des comportements et des pratiques permettant de minimiser la propagation des espèces végétales non indigènes envahissantes. Les recherches de Meg sur le thème de l'absence de traces ont été inspirées par la réussite de sa randonnée sur l'Appalachian Trail en 2018. Au-delà de ses intérêts de recherche spécifiques, Meg s'intéresse à la communication et à l'éducation scientifiques.

"Mon travail consiste à promouvoir des loisirs réfléchis afin de minimiser l'introduction et la propagation d'espèces non indigènes envahissantes. Leave No Trace ne se contente pas de promouvoir des loisirs de plein air responsables et durables, mais protège également notre environnement grâce à des efforts de conservation."

-Megan Dolman